Cette année marque le 1 700e anniversaire du premier concile œcuménique chrétien, qui se tint à Nicée, près de Constantinople, en 325 après Jésus Christ.
Cette commémoration nous offre une occasion unique de réfléchir à la foi commune des chrétiens et de la célébrer, telle qu’elle est exprimée dans le Credo formulé lors de ce concile ; une foi qui, encore aujourd’hui, reste vivante et porte des fruits.
La Semaine de prière pour l’unité des chrétiens 2025 est une invitation à puiser dans cet héritage commun et à pénétrer plus profondément dans la foi qui unit tous les chrétiens.
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Du 18 au 25 janvier 2025 Animations prévus à Carcassonne :
Dimanche, 19 janvier·15h30 au temple Conférence débat sur: « le Pardon – Réparation » Animé par Edith Tartar-Goddet psychosociologue, auteure de nombreux titres en pédagogie et autres relations humaines « Pardonner Quoi? et Pourquoi? » —————————– Vendredi 24 janvier 18h30: cathédrale Saint Michel de Carcassonne Célébration œcuménique —————————– Un échange de chaire entre protestants et catholiques est prévue dans cette semaine (les détails seront communiqués prochainement)
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Célébration pour la Semaine de l’Unité des chrétiens
Après une rencontre-débat sur le pardon au temple, une célébration a été organisée par le Groupe œcuménique de Carcassonne le 24 janvier dans la cathédrale, à laquelle participaient des représentants des communautés catholique, orthodoxe et protestante. Une assistance fournie s’est unie à la liturgie proposée par une communauté œcuménique italienne, dont la ligne de fond était la foi commune exprimée dans le Symbole de Nicée. La prédication du prêtre catholique a mis l’accent sur le fait que l’unité que nous recherchons ne peut être réalisée que par le Christ qui en est la source. Nous savons qu’elle se réalisera à la fin des temps. Il n’empêche, nous avons le devoir de la mettre en œuvre aujourd’hui dans la lecture et le partage de sa parole, en mettant l’accent sur ce qui nous unit, plus que sur ce qui nous sépare. Lectures, prière, chants ont rythmé cette célébration. Temps de silence aussi, soutenus par Jean-Luc au grand orgue à l’unisson avec le violon de notre ami Rüdiger.
André Bonnery |
Ci-joint un article de presse paru dans le « Petit Journal de l’Aude » :
